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Les silences de Pietrasecca

Entre récit initiatique et roman politique, Les silences de Pietrasecca tisse une intrigue haletante dont chaque détour dévoile un pan du passé refoulé. Alexandre Bertin orchestre un jeu de révélations successives qui éveille les thématiques centrales du roman : violence, filiation, mémoire collective. Un récit où le personnel et le politique se superposent sans jamais se dissoudre. - Mare Nostrum

Les béliers

Imaginez un théâtre où se joueraient simultanément un drame shakespearien, une farce de Feydeau et un documentaire anthropologique sur l’Algérie contemporaine. Tel nous apparaît Les béliers, premier roman d’Ahmed Fouad Bouras qui, sous les allures d’une fresque familiale éclatée, dissèque avec une acuité redoutable les contradictions d’une société prise entre ses traditions et ses modernités, ses rituels et ses trafics, ses silences et ses explosions. (…) Ahmed Fouad Bouras signe un premier roman d’une maturité impressionnante. Sa polyphonie narrative, sa sensibilité aux questions spirituelles, sa connaissance des codes sociaux font de Les béliers bien plus qu’une chronique familiale : un portrait saisissant de l’Algérie contemporaine, où se négocient en permanence les frontières entre le sacré et le profane, l’héritage et la trahison, l’appartenance et l’exclusion. - Mare Nostrum

Un premier roman acéré, drôle et tendre, sur la vie des classes populaires en Algérie. (…) Il n’y a pas de morale à cette histoire, âpre mais racontée avec un humour tendre, à l’allure nonchalante comme celle des ruminants, dont le style burlesque est cousu de métaphores épatantes. L’auteur des Béliers ne juge pas ses personnages, se contente de les regarder vivre tels qu’ils sont, souvent brutaux, sarcastiques, sournois ou maladroits, étrangement attachants néanmoins. C’est comme si, dans ce monde où les hommes veulent tellement être pris au sérieux, rien ne l’était vraiment. Si ce n’est le mouton… - Le Figaro littéraire

Adroitement construit, « Les Béliers » forme un roman d’initiation à trois visages, brassant pléthore de sujets, maladie mentale, métissage, droit des femmes et cruauté animale pour ne citer qu’eux. De Lamine à Zoheir, les personnages secondaires irriguent à merveille le récit d’Ahmed Fouad Bouras, ce dernier brillant par la consistance donnée à ses protagonistes autant que par le naturel et l’humour de ses dialogues. - Les Échos

Ahmed Fouad Bouras aborde avec subtilité des thèmes universels tels que les liens du sang, la place des femmes dans une société traditionnelle, le handicap, et le poids des rêves inaccessibles. L’humour incisif de l’auteur contraste avec la dure réalité décrite, offrant une lecture à la fois divertissante et poignante. Grâce à une écriture maîtrisée et sensible, Bouras transporte ses lecteurs dans les paysages ruraux algériens tout en mettant en lumière les défis de cette société. Ce premier roman social dépasse le simple cadre familial pour devenir une réflexion sur l’identité et la résilience humaine. Dans Les béliers, on retrouve toutes les tensions sociales qui traversent la société. - Le Matin d’Alger

Les aventures érotiques de Warum et Saint- Aram

Ezio Sinigaglia, architecte patient des labyrinthes intérieurs et orfèvre d’une prose où chaque mot pèse son poids de silence et de désir, nous plonge au cœur d’une énigme relationnelle. Dans l’atmosphère confinée et observatrice d’une maison de campagne peuplée d’amis, se déploie le lien unique, intense et paradoxal, entre le narrateur, Warum, esprit analytique et cœur captif, et l’insaisissable Fifí, figure solaire marquée par l’ambivalence du “fifty-fifty”. Partageant une intimité de chaque instant, leur relation vibre d’une tension érotique où l’accomplissement physique reste une
promesse suspendue, une absence vertigineuse autour de laquelle le récit tisse sa toile subtile. Ezio Sinigaglia nous invite moins à une chronique amoureuse qu’à une exploration radicale des géographies du désir, là où le langage tente de cerner l’incomplétude et où l’érotisme le plus puissant affleure peut-être, justement, dans ce qui est retenu. – Mare Nostrum

Un été grec avec Camus

Le lecteur, suspendu aux interrogations de Camus, est invité à s’interroger sur le sens de la vie, de l’amour et de la mort. Les réponses, Dimitris Stefanakis les distille avec finesse, laissant planer un voile de mystère sur l’épilogue de ce destin hors du commun. Cette conclusion ouverte, loin de déflorer le dénouement, invite le lecteur à prolonger la réflexion au-delà des dernières pages du roman. Elle souligne la puissance d’une œuvre qui, à l’image de la pensée camusienne, ne cesse de questionner le sens de l’existence et la place de l’homme dans un univers absurde. – Mare Nostrum

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⟶ Les coups de cœur des libraires

Les silences de Pietrasecca

« Les Silences de Pietrasecca nous propose un joli voyage dans l’Italie rurale des années 1970. Au travers de la quête d’identité de Lorena, c’est toute l’histoire contemporaine du pays qui est revisitée. Entre les non-dits de l’Histoire et les secrets de famille, Alexandre Bertin nous interroge sur les notions de filiation e...

Indomptables

Trois vies, trois destins : un boxeur champion du monde qui se bat pour son pays l’Ukraine, une jeune Népalaise devenue enfant-soldat et une femme à Marioupol qui doit se protéger des frappes russes. Leurs points communs ? L’envie de lutter et de liberté. - Librairie Garin, Chambéry

Entre fiction et biographies, B...

Tosca

Un livre court mais très émouvant qui nous emporte aux côtés de ces hommes morts de seul fait de leur religion. - Librairie Mangeurs de Livres, Pontlevoy

Un roman fort sur les heures sombres de la guerre, riche en savoir et en questionnements. Profondément touchant. Librairie des Marais, Lyon

Un roman troublan...

Le Harem du roi

Ce livre est incroyable ! Sans être pesant, il dénonce, comme sait si bien le faire l’autrice, le pouvoir et le système, les arrangements avec les croyances, l’oppression acceptée qui permet encore de perpétuer des agissements comme le mariage forcé, mais aussi le renoncement. - Librairie À livre ouvert, Paris 11e

Gro...

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⟶ Nos prix

Anouar Benmalek

L’amour au temps des scélérats

 Grand prix SGDL de la Fiction 2022

Marie Bardet

À la droite du père

 Finaliste prix Senghor 2018
 Sélection printemps Renaudot 2018

Selahattin Demirtaş

L’Aurore

 Prix Montluc 2019 Résistance et liberté
 Prix Lorientales 2019
 Finaliste prix Médicis étranger 2018

Selahattin Demirtaş

Et tournera la roue

 Sélection prix Médicis étranger 2019

Sabrina Kassa

Magic Bab el-Oued

 Finaliste prix Senghor 2019

Grażyna Plebanek

Furie

 Sélection prix du livre de poche 2020
 Sélection prix de étudiants français 2020

Mutt-Lon

Les 700 aveugles de Bafia

 Sélection prix Ouest France Étonnants voyageurs 2020

Prajwal Parajuly

Fuir et revenir

 Prix littéraire de la Chambre de commerce et d’industrie franco-indienne (CCIFI) 2022
 Finaliste prix Émile Guimet de littérature asiatique 2020
 Sélection prix du Meilleur livre étranger 2020

Sema Kılıçkaya

La langue de personne

 Prix France-Turquie 2019

Khalil Diallo

L’odyssée des oubliés

 Prix littéraire Ahmed Baba 2021

Djaïli Amadou Amal

Les impatientes

 Prix Métis des lycéens 2021
 Prix de l’Association internationale des maires francophones 2021
 Prix de la Femme d’influence 2021
 Choix Goncourt de l’Algérie 2021
 Choix Goncourt de la Tunisie 2021
 Choix Goncourt de la Serbie 2021
 Choix Goncourt de la République Tchèque 2021
 Choix Goncourt de la Grèce 2020
 Choix Goncourt de l’Orient 2020
 Choix Goncourt du Royaume-Unis 2020
 Prix Goncourt des lycéens 2020

Walid Hajar Rachedi

Qu’est-ce que j’irais faire au paradis ?

 Finaliste prix Goncourt du premier roman 2022
 Sélection prix Orange 2022

Selahattin Demirtaş

L’Aurore

 Prix Montluc Résistance et liberté 2019
 Prix Lorientales 2019

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